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 shine on you, crazy diamond.

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Ivanna S. Mihailovic

Ivanna S. Mihailovic



◭ messages : 98
◭ date d'inscription : 19/02/2012
◭ ancien métier : journaliste

De quoi es-tu coupable ?
◭ mes complices: ma folie.
◭ mon crime: être folle justement, tiens.

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MessageSujet: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitimeDim 19 Fév - 10:10


IVANNA SPERANZA MIHAILOVIC

◐ (...) A chaque printemps, cet appel, cet élan, ta force enfin revenue. La route neuve et qui brille. Ce point si souvent scruté où elle coupe l’horizon. Mais à quoi bon partir. Toute fuite est vaine et tu le sais. Les longues heures spacieuses, toujours trop courtes, où tu vas et viens en toi, attentive, anxieuse, fouaillée par les questions qui alimentent ton incessant soliloque. Nul pour t’écouter, te comprendre, t’accompagner. Partir, partir, laisser tomber les chaînes, mais ce qui ronge, comment s’en défaire ? (charles juliet)

NOM ◭ Mihailovic. PRÉNOM(S) ◭ Ivanna Speranza. ÂGE ◭ vingt-deux ans. DATE DE NAISSANCE ◭ dix-sept février 1990. LIEU DE NAISSANCE ◭ Rovinj, en Croatie. ORIGINE(S) ◭ croate (son père) et italienne (sa mère). STATUT CIVIL ◭ célibataire. ANCIEN METIER ◭ journaliste. GROUPE ◭ mulberry. AVATAR ◭ ginta lapina, pour l'instant, mais j'ai des doutes x)...

WE WON'T BE BORN AGAIN
PRÉNOM/PSEUDO ◭ Julie/June. ÂGE ◭ 17 ans. COMMENT ES-TU ARRIVE SUR LE FORUM ◭ via bazzart. TON AVIS SUR LE FORUM ◭ ben il est juste orgasmique quoi :bigeyes: CREDIT ◭ black lotus. UN DERNIER MOT ◭ j'ai craqué, je me suis inscrite \o/ mais du coup je promets pas d'être hyperactive, ça se fera en fonction de mon emploi du temps quoi >< CODE DU RÈGLEMENT ◭ ok par Cassandre.





WE WERE NEVER ALIVE

Cet endroit est sinistre, sombre. C’est étrange mais, finalement, il ne te fait pas plus peur que ça. Bien sûr, tu es toujours instable, sujette à des sautes d’humeur, dont certaines t’enclavent dans la dépression. D’autres encore te libèrent du sommeil, de ta pudeur. Parfois, il t’arrive de parler sans plus t’arrêter, jusqu’à ce que tu te rendes compte que ce que tu dis n’a plus aucun sens. Parfois, c’est pareil, mais à l’écrit. Ecrire, tu aimes toujours ça. Ca t’aide à tenir, dans ce monde inquiétant où les plus dangereux criminels rôdent. La seule peur qui te tenaille véritablement, elle est encore inconsciente. Et si ton oncle se retrouvait là, lui aussi, afin de payer pour ce qu’il a fait de toi ? Mais tu ne te souviens toujours pas. Tu penses aussi à l’homme du bureau d’en face. Tu t’étais habituée à la présence effrayante de ses yeux partout autour de toi, de ses yeux tétanisant. Tu ne sais pas trop s’il te manque, ou si tu es contente d’être libérée de cette emprise imaginaire qu’il avait sur toi. Parce qu’au moins, lorsqu’il était là, tu ne te sentais pas seule. Pas aussi seule que tu ne l’es maintenant. Tu as l’impression d’être tombée dans un gouffre, mais tu as beau lever la tête, pas un grain de lumière ne tombe sur ton visage pour te réchauffer. Tu te sens… vide, parfois. Tu vois tout défiler comme à travers un écran, délaissée par les sentiments, oubliant d’avoir un avis sur ta situation. Après tout, tu te dis que si tu es là, c’est qu’ils avaient raison ; quelque part, tu es vraiment folle. Ta folie n’est juste pas la même que celle des autres.

Alors tu te contentes de te laisser porter par cette nouvelle vie, que tu acceptes parce qu’au moins, tu n’es plus enfermée dans cette chambre, à respirer son air au goût de pourriture, à vivre son atmosphère malsaine. Bien sûr, ici non plus, tu n’es pas libre… mais il y a quelque chose que tu préfères. Au moins, il n’y a plus de sourires hypocrites, plus de limites. Tu peux être qui tu es. Mais tu regrettes… Tu regrettes terriblement la mer et le ciel sans fin, le parfum de liberté dans l’air qui soulevait tes cheveux. Si tu n’avais pas frappé cette femme, serais-tu là ? Sans doute pas. Néanmoins, tu te fais une raison, parce que tu sais que tu n’aurais pas pu faire autrement que d’abattre ce tabouret sur son dos.

Tes écrits s’étendent sur des pages et des pages. Oui, écrire, ça te permet de tenir, de chercher des réponses, de chercher une issue. Tu te demandes si le repentir est possible, si un jour tu pourras revoir les traits familiers de tes parents, de ta ville natale. Tu le voudrais… mais, pour le moment, tu ne peux que l’espérer.



Dernière édition par Ivanna S. Mihailovic le Dim 19 Fév - 13:02, édité 8 fois
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Ivanna S. Mihailovic

Ivanna S. Mihailovic



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MessageSujet: Re: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitimeDim 19 Fév - 10:10



DEAD MEMORIES IN MY HEART


Le bois est chaud et humide sous toi. Le caressant d’un geste évasif, tu épingles du regard l’horizon et imagines la terre au-delà de cette immensité de vagues et d’écume. Un bleu presque artificiel s’étire jusqu’aux quatre coins du monde, et les derniers lambeaux de nuages s’effilochent dans le ciel. Le parfum de la mer, le bruit des flots venant lécher les flancs des bateaux. La vie qui, derrière toi, fourmille, s’insinue dans les rues parsemées d’immeubles aux couleurs pastelles, et puis toi. Toi, la petite fille aux boucles d’or, celle qui semble si pure derrière ses traits diaphanes. Aussi calme que l’étendue devant toi, aussi infinie que la couleur des cieux, aussi mature que ce soleil qui culmine et te regarde du haut de ses longs millénaires d’existence. Aussi triste que la lourdeur de l’air lorsque tu t’engouffres dans la petite église. Tu te sens si seule, que tu te sens petit à petit dériver avec les eaux qui t’appellent. Tes jambes ne se balancent plus au-dessus d’elles depuis bien longtemps. Si souvent, tu imagines te laisser glisser, abandonner le ponton solitaire et laisser les profondeurs t’engloutir. Cette impression que même la fraîcheur délicieuse de l’eau ne saurait que te brûler la peau, te l’arracher, te laissant dépouille voguant vers un point qui fuit et que jamais tu ne rattraperas. Pas même à travers la mort.

Quel âge as-tu ? Pour paraître à la fois si jeune et si fragile, et si… si vieille. À ton regard, irisé d’un bleu transperçant le monde avec une lucidité insatiable, on te croirait avoir vécu autant de siècles que l’astre des jours, qui t'escorte seul. Tu passes tes journées à le regarder jouer avec ton ombre, passive, éperdue. Jusqu’à ce que l’arrivée de la nuit ne t’éconduise jusqu’à chez toi – ou plutôt, jusqu’à cet endroit où tu tentes chaque jour de survivre. Ton enfance est un composé bouleversant de drames et de déchirures. Depuis que le frère de ton père est venu vivre chez vous, tu perds pied. Sombres en enfer. Tu t’abîmes, parce qu’il t’abîme. Papa et maman ne savent pas les horreurs qu’il te force à faire. Comment pourraient-ils soupçonner que si tu ne balances plus tes jambes, c’est parce que tu as trop mal, et que les vagues ne sont plus seules à soulever ton bassin à un rythme lancinant… Chaque geste te rappelle ce processus de déshumanisation qu’il t’impose. Il est là, il est ici, il est partout. Dissimulés derrière toute chose, ses gros yeux te dévorent. Son regard vicieux, le regard du mal, te traque inlassablement. Alors, tu ne regardes plus rien. Tu te perds dans cet horizon. Tu imagines la terre natale de maman, la chaleur de l’Italie, et tu voudrais t’enfuir… Tu voudrais te jeter dans la mer et nager jusqu’à l’épuisement, pour peu que tu réussisses à t’éloigner du monstre qui t’égare. Mais on t’a piqué le corps avec acharnement, labouré la peau avec des rasoirs imaginaires, et même la brise fraîche réveille les brûlures internes qui te torturent sans relâche. Tu as l’impression qu’il t’a même forcée à boire de l’acide, et que celui-ci ronge ta chair. Dehors, tout est calme. Dehors, les boucles bercées par le vent viennent choyer tes frêles épaules dans une caresse silencieuse. Dedans, c’est la tempête. Chaque fois qu’une mèche effleure ta joue, elle y creuse une profonde entaille et ta souffrance décuple.

Tu as fini par oublier. Il est parti comme il est venu, mais son départ, il l’a voulu grandiose. Alors il s’est assuré que papa et maman ne seraient pas là, et il t’a prise, encore une fois. Mais cette fois, il a brisé les limites, en plus de te briser toi. Les limites de la raison. Les nuages se perdent dans le bleu du ciel, l’air est engourdi du sel de la mer. Tu as fini par tout oublier. Tout. À force de tourner, tourner, l’aiguille a sauté, s’est brisée ; elle n’avance plus. Arrive un moment où le cerveau sature et bloque tout. Mais le disque est rayé, la boussole a perdu le nord ; elle s’est déréglée, elle est devenue folle. Comment le psychisme d’une jeune enfant pourrait-il encaisser pareille torture, tout en restant intact ?

Désespoir psychédélique.

***

L’homme est là. Dans un geste nonchalant et un bruissement d’étoffes, sa sacoche en vieux cuir dégringole, s’écroule sur son bureau. Il a un demi-sourire figé sur les lèvres. Le désordre dans ses cheveux bruns, la couleur de ses yeux. La carrure forte, agressive, les mains puissantes qui tirent le dossier de sa nouvelle chaise. L’apparente gentillesse qui tire ses traits en ce que tu crois être un rictus. Tes mains restent suspendues au dessus du clavier, ton sang se glace et te paralyse. L’odeur des livres ouverts devant toi, celle que tu aimais tant, te monte à la tête et te la fait tourner. Au bout d’une minute, tu souffles enfin et réalises que tu ne respirais plus. Il s’est assis et maintenant, il te regarde lui aussi. Tu aimerais comprendre pourquoi, pourquoi te martèle cette impression qu’il t’accroche au mur derrière, avec la flèche empoisonnée que décochent ses yeux. Ses grands et beaux yeux. Tu veux qu’ils cessent de te détailler, de te torturer, qu’ils arrêtent de voir si clair à travers toi. Tu es sûre qu’il te veut du mal, et tes mains se sont mises à trembler. « On s’est… déjà vus quelque part ? » Sa voix est calme, elle est gentille. Sa voix est sournoise, elle coule dans tes veines comme le somnifère qu’il cherche à t’administrer pour mieux te briser ensuite. Sueurs froides. « C’est que… vous n’avez pas cessé une seconde de me fixer depuis que je suis entré dans ce bureau. » Un bref rire gêné agite ses lèvres. Tu tressailles. Pourquoi te ment-il de cette façon ? Alors que ce sont ses yeux qui se sont braqués sur toi dès le départ, qui se sont multipliés pour mieux percer ta plus secrète intimité. Un cri détonne en toi, l’angoisse hérisse les poils sur tes bras ; tu la sens qui remonte le long de ta nuque et descend jusque dans ta bouche. Le goût amer, le liquide poisseux contre ton palet. La fragrance entêtante des livres. Les touches qui s’enfoncent dans le bureau d’à côté. Tu te lèves, tu ne t’aperçois même pas que la chaise est tombée tellement ton mouvement a été brusque. Tu cours jusqu’aux toilettes comme si un monstre te pourchassait, et lorsque tu t’effondres, les mains crispées sur les rebords du lavabo, c’est encore ses yeux que tu vois. Ils sont là, partout, ils te scrutent, ils te dévorent. Dans le miroir, dans les cabinets, au plafond, derrière les grilles d’aération et jusque dans les canalisations. Ils sont .

Le hurlement déchire tes cordes vocales. Ca fait deux mois qu’il est arrivé et qu’il travaille au journal, assis au bureau d’en face. Tu ne le connais pas, tu ne l’as jamais rencontré avant qu’il ne franchisse cette porte. Les sentiments qu’il déchaîne en toi sont incompréhensibles pour ton esprit embrumé, et les semaines ne s’enchaînent pas sans que tu ne refasses l’une de ces crises de paranoïa. Pourtant, tu sens autre chose. C’est comme un désir, une pulsion sexuelle qui t’attire vers lui inlassablement… L’explication, tu es loin de la connaître. En réalité, il révulse ton inconscient, parce qu’il lui ressemble tellement, physiquement… Il ressemble tellement à cet oncle qui n’a mis que quelques mois à te détruire et à te rendre instable. Pourtant, la jeune femme libérée de cet atroce souvenir sent cette attirance qui la relie à lui… Elle aimerait effacer la peur insondable qu’il lui procure et qui la suit partout comme une ombre grandissante. Après tout, c’est la paranoïa qui te fait croire qu’un monstre sommeille derrière son joli visage… La paranoïa. Plus puissante que le désir, que l’amour potentiel qui te tiraille.

Un jour, elle t’entraîne plus loin que les autres fois. La voix du patron au téléphone, les hommes en blanc, l’odeur de médicaments dans le camion… Te voilà dans ce qu’ils appellent hôpital psychiatrique. Ils t’ont collé une étiquette sur le dos. Ivanna, la belle jeune femme aux cheveux d’ange, elle a disparu. Pour eux, tu n’es qu’un psychisme dérangé, une « maniaco-dépressive, » comme leur jargon inintelligible le prétend. Sautes d’humeur, manie, dépression. Pilules, serrures closes, cris dans les autres chambres ; te voilà chez les fous. Etendue sur ton lit, tu rêves de l’horizon qui se perd dans la mer, tu rêves de ta ville natale, loin de Zagreb où l’on t’a transférée. Mais ton regard bute contre le gris du plafond délabré. Prisonnière. Tu rêves de l’Italie, de la nature, de la liberté. Tu regardes les autres passer dans les couloirs, se planter devant la télé, bouffer ces saloperies de médocs, retourner faire le légume dans leurs chambres misérables. Tu regardes les infirmiers, tu vois le mépris dont leurs rétines transpirent et l’horreur que ces personnes dites anormales font suinter à travers le moindre pore de leur petite peau parfaite. Leurs sourires en plastique qui t’accompagnent d’une politesse feinte à longueur de journée, tu en crèves. Tu voudrais les arracher, arracher leur masque d’hypocrisie, les jeter au feu. Tu n’en peux plus d’être ici…

Elle ouvre la porte avec son sourire carnassier et ses dents répugnantes de blancheur, elle te sort la même chanson que tous les jours, et tu sens dans sa voix combien elle te rabaisse. Putain, tu n’es pas folle, tu n’es pas insensée comme tous ces tarés qui peuvent pas aligner deux mots cohérent dans cet hôpital ! Tu n’es pas folle ! Tu es juste versatile, lunatique, mais pas folle. Y’a quelques mois de ça, tu écrivais des articles, tu étais même douée pour ça. Alors, lorsque la blouse blanche te tend tes pilules quotidiennes, tu les envoies valser en crachant. Tu grondes comme le tonnerre qui dormait en toi depuis trop longtemps. Etre ici, enfermée, ça te bouffe, ça te soigne pas. Tu veux briser ces putain de chaînes et courir vers ta liberté. Elle ramasse les petits cylindres de couleur en te sermonnant d’une voix suraiguë, une voix que tu sens destinée à quelqu’un incapable de la comprendre. Alors, tu réfléchis pas, tu attrapes le tabouret qui traîne par là et tu la frappes avec. Te voilà qui cours dans les couloirs, avec l’impression qu’ils s’étirent jusqu’à n’en plus finir. Tu es encore prisonnière d’un labyrinthe dont la sortie n’existe peut-être même plus. Le crissement des chaussures derrière toi, l’armée de médecins qui veut t’abattre pour de bon. Tu cours encore, mais ils courent plus vite que toi.

L’aiguille s’enfonce impitoyablement dans ton bras. Tu sens le liquide éclater dans tes veines, ton cri qui s’efface. Ils ont gagné. Tu es faible, tu es misérable toi aussi. Et folle, peut-être. La route éclairée cesse de surgir du néant au rythme de tes pas ; tu t’écroules, comme la sacoche de l’homme qui te faisait peur. Tu te vides comme elle, tu redeviens l’objet qu’ils voulaient que tu sois. Ta vue se brouille. Tes paupières dilatées maintiennent tes prunelles bleues à la face du monde, mais tu ne vois plus rien. Un fourmillement de couleurs et puis, le noir. Les forces te quittent, tes membres deviennent flasques, et puis tu sombres. Au fond, tu sais que cette femme, cette infirmière, tu ne l’as pas tuée. Tu n’es pas quelqu’un de mauvais…

Mais lorsque tu te réveilles, tu es à Falkenberg.



Dernière édition par Ivanna S. Mihailovic le Dim 19 Fév - 13:13, édité 3 fois
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A. Cassandre Tchaïkovsky

A. Cassandre Tchaïkovsky



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◭ ancien métier : botaniste.
◭ localisation : la vieille serre.
◭ âge irl : 28
◭ date de naissance : 07/11/1995

De quoi es-tu coupable ?
◭ mes complices: mes mains.
◭ mon crime: c'était un accident. (meurtre de son fils)

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MessageSujet: Re: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitimeDim 19 Fév - 10:19

own Ginta ! :bril: :bigeyes: Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche, je valide le code. I love you
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Ivanna S. Mihailovic

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MessageSujet: Re: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitimeDim 19 Fév - 10:20

Merci I love you
J'ai un doute sur l'avatar... Je ne sais pas si elle correspondrait tellement à mon personnage en fait, j'y réfléchis (:
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A. Cassandre Tchaïkovsky

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De quoi es-tu coupable ?
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MessageSujet: Re: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitimeDim 19 Fév - 10:21

Si tu as besoin d'aide, n'hésite pas ! :ha:
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Ivanna S. Mihailovic

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MessageSujet: Re: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitimeDim 19 Fév - 10:21

Merci :bril: (j'hésite notamment avec miss Stam... Je verrai quand j'aurai fini ma fiche!)
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Europe Volodya Åkerfeldt

Europe Volodya Åkerfeldt



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◭ ancien métier : étudiante en mythologie nordique et religions d'aujourd'hui.
◭ localisation : ma boussole a perdu le nord.

De quoi es-tu coupable ?
◭ mes complices: l'aube et l'aurore.
◭ mon crime: aimer trop fort, jusqu'à s'en perdre soi-même.

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MessageSujet: Re: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitimeDim 19 Fév - 10:35

Ohhh June, ça me fait super plaisir de te voir parmi nous. :bril: (Stam est assez différente, c'est vrai que ça dépend de ton histoire)
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A. Czeslaw Jakotrovietch

A. Czeslaw Jakotrovietch



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◭ ancien métier : Tueur à gage, qui exerce toujours d'ailleurs. Ahem.
◭ localisation : Qu'est-ce que ça peut te faire ? Pour ne pas dire autre chose.

De quoi es-tu coupable ?
◭ mes complices: La Mafia Russe.
◭ mon crime: Tellement de choses... A commencer par ne pas être mort avec les miens, et certainement quelques exécutions et autres trucs pas clairs. Mais bon, entre nous, qui n'a jamais rêvé d'étrangler son patron ?

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MessageSujet: Re: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitimeDim 19 Fév - 10:58

Bienvenue, et bon courage pour ta fiche, si tu as la moindre question on est là pour y répondre ! :bril:
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Ivanna S. Mihailovic

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MessageSujet: Re: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitimeDim 19 Fév - 12:40

Merci :bril:. Et étrangement, je ne trouve pas qu'elles soient très différentes, Ginta et Jessica... je les mets un peu dans le même panier '-'

J'ai terminé ma fiche. Je me demande encore si Ginta convient vraiment, donc si vous pouviez me donner un avis, voire des propositions si vous mettez un visage particulier sur cette histoire :cute:
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A. Czeslaw Jakotrovietch

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MessageSujet: Re: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitimeDim 19 Fév - 13:02



◐ Bienvenue sur THE OTHER SIDE.

Ivanna S. Mihailovic

Tu viens d'être validé, et tu rejoins donc le groupe MULBERRY. Dès maintenant, tu vas pouvoir tisser des liens en créant ta fiche ici. Et pourquoi ne pas ouvrir un carnet de Rps ? Ainsi, les gens pourront venir te demander un Rp, et suivre ceux que tu as en cours. Pour se faire, tu as rendez-vous ici. Et pour terminer, nous avons mis en place les carnets de bord. Il s'agit d'un journal intime, en quelques sortes, c'est là que tu pourras noter toutes les évolutions importantes pour ton personnage, tu évites ainsi aux autres de devoir suivre tous tes rps pour savoir où tu en es. N'oublies pas non plus de te recenser aux différents endroits importants. Et l'un des plus courants, c'est bien sûr le bottin des avatars. Ensuite, si tu veux exercer un métier, fais le nous savoir en venant le réserver ici. Il y a déjà quelques propositions, si tu n'as pas d'idées. Bien sûr, avoir un métier n'est pas obligatoire. Enfin ici, tu retrouveras tout ce qui touche aux logements/lieux. A savoir : demande de colocataire, de logement, et le registre des habitants. Car tu peux habiter à plusieurs endroits, mais pour certains lieux, le nombre de place est limité. Pour savoir où est-ce qu'il reste de la place, c'est ici.

Maintenant, l'équipe te souhaite de passer d'excellents moments avec eux et les membres sur The Other Side, et n'oublies pas que si tu as un problème, une question ou quoi que ce soit, le Staff est à ton écoute !


Voilà, tu es donc validée, pour ce qui est du choix d'avatar, moi et Europe votons Ginta. Après, si tu veux vraiment changer d'avatar, libre à toi de le faire, tant que tu préviens dans le bottin. I love you. Sinon, j'ai vraiment adoré ta fiche, le style d'écriture qui est juste à tomber, le personnage, l'histoire. Bref, j'ai vraiment tout aimé. Je ne rajouterais qu'un mot : :bave: . Officiellement bienvenue et bon jeu parmi nous ! :perv:
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Ivanna S. Mihailovic

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MessageSujet: Re: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitimeDim 19 Fév - 13:09

Je vais garder Ginta alors, même si Jessica aurait été très bien aussi I love you

Merci beaucoup pour ces compliments :bril: et je suis désolée pour les quelques fautes que tu as pu rencontrer, je viens de me relire et les ai corrigées Wink
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A. Czeslaw Jakotrovietch

A. Czeslaw Jakotrovietch



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MessageSujet: Re: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitimeDim 19 Fév - 13:12

Pas de quoi. I love you
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MessageSujet: Re: shine on you, crazy diamond.   shine on you, crazy diamond. I_icon_minitime

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