PRÉNOM/PSEUDO ◭ Yourks. ÂGE ◭ i19 ans. COMMENT ES-TU ARRIVE SUR LE FORUM ◭ En prenant un train en route - par bazzart TON AVIS SUR LE FORUM ◭ J'aime beaucoup sinon je ne me serais pas inscrite. CREDIT ◭ TUMBLR. & Europe pour le scénario. UN DERNIER MOT ◭ iJe donne du chocolat à tout ceux qui harcèleront ma boite mp - je voulais dire une connerie - . CODE DU RÈGLEMENT ◭ ok par Europe la merveilleuse.

ici vous décrirez l'arrivée de votre personnage à Falkenberg, sa vision de la ville, des autorités et des habitants. vous parlerez de ses regrets et de ses peurs, des personnes qui lui manquent et de celles dont il est heureux de se débarrasser.

Tu es là, devant lui et bizarrement il t'inspire confiance. Tout doucement, tu oses même lui adresser un sourire. Il te semble sympathique et puis comment un homme de sa corpulence pourrait-il te faire le moindre mal ? Ses grands yeux te ramènent même en enfance. Tu te revois petite fille en train de regarder Bambi. Oui, il est tel un petit animal que l'on désire protéger. Il ne s'est toujours pas approché de toi toutefois cela ne fait aucune différence, tu ne peux pas le lâcher des yeux, quelque chose chez lui te retient. Tu ne le sais pas encore mais tu es en train de tomber dans son horrible piège. Doucement, il lève son verre et tu es convaincue que c'est en ton honneur. Qu'il veut fêter ta beauté qui sans aucun doute ne peut le laisser indifférent. Tu t'avances alors vers lui, certaine qu'il n'ose pas faire le premier pas. Rapidement, il t'accueille avec un grand sourire et tu es persuadée que tout sera parfait. Il est vrai qu'il t'est impossible de connaitre la vérité sur sa personne. Tu serais bien incapable de comprendre que la joie présente ses tendres traits n'est que feinte pour t'avoir. Tu remarques bien vite qu'il n'est pas des plus bavards mais tu ne vas pas t'en plaindre, pour une fois qu'un garçon te laisse t'exprimer à ton aise. Tu l'apprécies car il est tout ce qu'une femme peut désirer et que surtout, il ne te drague pas comme si tu étais sa chose. Les heures passent et tu ne remarques même pas que tu es foutue. Tu lui dis qu'il est temps que tu rentres chez toi puisque tu es quelque peu fatiguée. Il se propose, avec ses propos étranges, de t'accompagner jusqu'à ta voiture. Il veut être sûr que tu sois en sécurité et toi tu le crois, incrédule au plus haut point. Les lumières sont quasi absents dans la rue et avant que tu ne comprennes ce qui t'arrive, il t'a pris tout contre lui. Cela n'aurait rien de très désagréable si tu ne sentais pas l'une de ses mains se placer sur ton visage. Peu à peu, tu perds ton souffle, tu manques d'air et tu tombes dans ses bras. Tout autour de toi devient noir mais dans le peu de lumière, tu arrives à discerner son sourire... carnassier à souhait... Oui, tu as été bien idiote ce soir. Malheureusement, il est trop tard pour changer les choses.

Combien de temps s'est écoulé ? Tu n'en as aucune idée mais ta tête te fait un mal de chien. Tu voudrais bouger toutefois ton corps ne t'obéit plus vraiment. Tu n'as aucune idée d'où tu te trouves. Tu te sens prisonnière, tu as envie de crier mais aucun son ne sort de tes tendres lèvres. Prise au piège, tu l'es totalement. Et puis, tu le vois devant toi, ce monstre qui t'a trompé pour mieux t'emmener dans ses filets. Maintenant, il n'a plus rien du petit Bambi, non il est un dragon qui ne tardera pas à te sauter dessus. « Ne t'approches pas de moi. » Tu cherches à te défendre, tu ne le laisseras pas gagner et tu te battras bec et ongles. Ton corps, malheureusement trop faible, ne te sera sans doute d'aucun secours mais tu essayes quand même. « Elle parle! Oh! Parle encore, ange resplendissant! Car tu rayonnes dans cette nuit, au-dessus de ma tête, comme le messager ailé du ciel » Tu te demandes s'il est fou, au fond, tu ne cherches même pas à le savoir. Il s'approche encore plus de toi et de toutes tes forces tu te traînes pour lui échapper. Tout est bien trop noir, ton souffle trop court et tu ne vois aucune porte de sortie. Tu es coincée ici, avec lui. Te mettant rapidement sur le dos, tu pousses tes pieds dans sa direction avec pour unique objectif de lui casser quelque chose. L'action te demande bien trop d'énergie et tu n'arrives même pas à lui faire mal. Tout doucement, il s'avance vers toi avant de venir s'installer confortablement sur ton corps. Tu n'arrêtes pas de crier et tu ne remarques pas que cela ne lui fait que d'autant plus plaisir. Il se permet même de poser ses mains dégoutantes contre ton tendre cou. Il se met à le serrer et il te devient impossible de garder un rythme cardiaque acceptable. Lorsqu'il enlève enfin ses mains, tu n'oses plus parler de peur qu'il ne te brise davantage. Avec une douceur humiliante, il se met à toucher ton corps. Il commence par tes beaux cheveux blonds et descend tout le long de ton corps. De tes bras, tu essaies de l'en empêcher mais il a aussitôt fait de t'attacher. Il te veut immobile pour profiter de chaque recoin de ton corps. Tu te refuses à verser la moindre larme. Tu veux paraitre forte même si ton monde s'écroule. Tu chercheras même à t'enfuir dès que tu en auras l'occasion. « Mes excuses te sont adressées. Ô, toi mon adorée. Pardonne-moi de ne pas avoir retrouvé notre canapé » Ses paroles n'ont aucun sens pour toi et tu ne comprends pas ce qu'il te veut. Pourquoi te tutoie-t-il de la sorte alors qu'il connait ton prénom ? Trop de questions et pas assez de réponses. Ta seule certitude c'est qu'il va te forcer à faire des choses dont tu n'as guère envie. Il va te briser sans que tu puisses réagir et à jamais tu auras dans ta tendre tête son image. Toute ta vie sera changée par sa seule volonté et tu ne peux t'empêcher de te mettre à pleurer. Tes forces t'abandonnent tandis qu'il commence à te déshabiller. Minutieusement, il t'observe sous toutes les coutures, posent sa langue de serpent sur tout ton corps tandis que des haut-le-cœur te submergent. Tu fermes les yeux pour tout oublier bientôt tout sera fini, du moins tu l'espères.... Ton corps ne t'appartient plus, c'est ce chien qui le possède, en fait son instrument. Il rentre et sort de toi avec une force destructrice tout en te demandant si tu aimes ça. Parmi tout ce qu'il a pu te dire, quelque chose attire ton attention plus que tout le reste. « Il n'a pas de plaisir plus doux que de surprendre un homme en lui donnant plus qu'il n'espère. » Et puis plus bas, il ajoute avec une once de joie. « Tes yeux sur moi si élégamment posés, m'ont fait comprendre que tu voulais recommencer. » Tout cela est sans logique pour toi mais tu es bien obligé de tout supporter. Bizarrement, tu sens que ton supplice va bientôt se terminer. Ses coups de reins se vont moins ravageurs comme si son plaisir n'était plus aussi présent. Quelques instants plus tard, il s'enlève de toi, se rhabille légèrement avant de détacher tes poignets. Pensant profiter de cette situation, tu te lèves et cours le plus rapidement possible vers la sortie. Il a aussitôt fait de t'attraper la chevelure et de jeter ta tête contre le mur le plus proche. Ton visage est en sang, tandis qu'il te rattrape par les cheveux et te donne un baiser dégoutant. « Incapable de créer l'illusion dont j'ai besoin, fait moi plaisir de ton chagrin. » Toi, pauvre martyre, tu ne comprends rien à la situation. Avant que tu ne puisses le supplier de te laisser tranquille ou même que tu ne préviendras pas la police s'il te laisse partir. Il te pousse au sol et recommence à te faire du mal. Il s'enfonce en toi plus violemment tandis que ses mains replongent sur ton cou. Il veut te voir souffrir et surtout pleurer. Ton agonie devient son seul accès au bonheur et il ne va pas s'en priver. Il te traite comme un morceau de viande et continue de plus belle en se saisissant d'un couteau. Tranquillement, il te taillade, te fait de nombreuses petites entrailles. A un moment, il écarte tes lèvres et t'oblige à lécher ton propre sang. Tu n'en peux plus, ton corps est à bout, tout autant que toi et tu te demandes pourquoi. Pauvre petite chose, tu ne peux comprendre que rien de cela n'a rien à voir avec toi. Ta seule erreur ayant été de ressembler un peu trop à son astre aimé. Ton seul défaut de ne pas lui avoir apporté autant de choses qu'elle. Tu n'as pas convenu pour le personnage qu'il voulait que tu joues et maintenant il te le fait payer au prix fort. Ta douleur est si intense que tu serais bien incapable de la situer. Accomplissant une fois de plus un coup de rein ravageur, il avance ses mains vers ta personne. Tu le vois se saisir du long couteau et te l'enfoncer droit vers le coeur. Le sang commence à couler, tu vas mourir, ce n'est qu'une question de secondes et tu en serais presque à le remercier. Au loin, tu l'entends prononcer ses quelques mots à ton égard. « Ces plaisirs violents ont des fins violentes; dans leurs excès ils meurent tels la poudre et le feu, que leur baiser consume... » Il t'embrasse alors une dernière fois comme pour te tuer davantage et puis le noir apparait. Tu n'as même pas le temps de fermer les yeux que toute vie a quitté ton corps. Une soirée et toute trace de toi sur cette terre a disparu tandis qu'il continue d'errer comme une âme en peine, non rassasier. Sa seule délivrance lui était interdite. Un mois qu'il ne l'a plus vue, souffrance sans nom, l'amenant au tréfonds de ses envies. Tu es morte à cause d'elle et elle n'en saura jamais rien.