PRÉNOM/PSEUDO ◭ Mkd ÂGE ◭ 21 ♪ COMMENT ES-TU ARRIVE SUR LE FORUM ◭ la faute à Chris ! *montre du doigt le-dit Chris* TON AVIS SUR LE FORUM ◭ ôrgasmique ! CREDIT ◭ tumblr/ UN DERNIER MOT ◭ mot. CODE DU RÈGLEMENT ◭ Ok par le sociopathe

Un, deux, trois, nous irons au bois...

Des bois sombres, menaçants, perdus en pleine nature comme autant de cadavres dressés au milieu de rien. Assis à l'arrière d'un véhicule dont tu ne te souviens même plus l'apparence, tu regardes le paysage défiler devant tes yeux, jetant de tant à autres un regard vers ton passé qui s'éloigne derrière la vitre arrière. L'habitacle est silencieux, seul le bruit crachotant du moteur trouble le mutisme qui s'est installé de lui-même. Le chauffeur sans visage marmonne quelques mots dans sa barbe, sous le regard morne de son acolyte, assis à la place du mort. De l'arrière, tu les entends mal et de toute façon, tu te soucies peu de ce qu'ils peuvent bien raconter.

Quatre, cinq, six, cueillir des cerises...

La voiture suit un virage, dévoilant sans détour le lac sombre que tu as traversé, et qui s'étale maintenant devant tes yeux tristes. Seules quelques corneilles solitaires osent encore froisser cette peinture sans vie. A côté de toi, les arbres défilent inlassablement. Pas de fruits sur leurs branches, mais tu pourrais très bien y imaginer toute une armée de pendus tant l'ambiance te paraît glauque et invivable.

Sept, huit, neuf, dans mon panier neuf...

Le véhicule se cabre en butant contre une pierre trop grosse pour ses pneus usés. Dans le coffre, tu entends le bruit étouffé d'une valise qui heurte l'habitacle. Est-ce que c'est la tienne ? Tu ne te souviens pas avoir préparé tes affaires. En fait, tu ne te rappelles même pas où tu étais ce matin. Comme si ta mémoire s'était brouillée depuis que tu as mis le pied sur ce fichu bateau. Où est-ce que tu étais avant ? Une chambre, un hôpital, une prison... Tout ça n'a plus d'importance de toute façon. Alors tu te laisses balloter dans cette voiture, ton corps se balançant machinalement au rythme bas des pulsations de ton sang.

Dix, onze, douze, elles seront toutes rouges ♪

comme le sang qui a coagulé autour des blessures que tu t'es infligées, lors d'une de tes crises indomptables. Elles grattent, elles brûlent, elles suintent. T'arrachent de la vision cadavérique de Falkenberg, enduisent ton esprit de pensées vagabondes et insondables. Cet endroit sent la mort. Il pue la fin de tout, l'apocalypse et le non-retour. Tu peux le sentir grâce à la vitre entrouverte du mort assis devant toi, qui agite lassement sa cigarette à moitié consumée par dessus la vitre. Tes yeux suivent instinctivement les cendres rougies qui s'évanouissent presque aussitôt dans l'air morose des bois.
Alors les arbres s'espacent, les troncs se transforment en maisons et les sous-bois en rues. Quelques âmes obscures glissent entre les habitations, mais tu ne les regardes même pas. Tes yeux sont baissés vers leurs ombres, qui semblent avoir été arrachées de leur propriétaire tellement la lumière est malsaine. Un frisson parcourt ta peau, t'arrachant un grognement de malaise qui fait rire le conducteur. Tu le fusilles du regard, même si tu sais pertinemment qu'il ne peut pas te voir, avant de reporter ton attention sur les maisons qui défilent. Ton air inexpressif se fondra sûrement très bien dans la masse indicible de cette ville fantôme.
L'espace d'un instant, tu oses te demander ce que tu fais ici, à plonger dans la gueule du loup alors qu'il avait tout fait pour t'en éloigner. Les freins de la voiture anéantissent les prémices de ta réflexion, coupant ta pensée en plein élan. La seule question qui te reste à l'esprit est "est-ce que Chris est là ?"

Drènn, c'est cinq lettres tracées maladroitement sur une grande feuille de papier. Une famille moyenne, établie dans une maison moyenne de Suède, moyenne. Moyen, moyenne. On lui dit qu'il a le visage doux de sa mère, mais le nez de son père. Charmant mélange qui le différencie de son grand frère, Tritt, qui malgré son jeune âge, présente déjà des traits bien plus durs que les siens. Cinq ans les séparent, et pourtant leur lien est indéfectible, envers et contre tout. Ils s'aiment, et leur amour fraternel n'a d'égal que l'amour que leur porte leur mère. Livia. Aujourd'hui, quand il se surprend à penser d'elle, seule la douceur de sa peau et son sourire rassurant réussissent à subsister dans son esprit. Ses cheveux, longs et roux...ou alors étaient-ils bruns ? Il ne sait plus. Il a oublié jusqu'à son odeur, son parfum, son rire et l'éclat de sa voix. Même les larmes qu'il a versées le jour de sa mort ont été soigneusement effacées de son esprit. Pourtant, elle est bel et bien morte. Un matin d'été, allongée sur le carrelage dans une posture qui n'avait plus rien d'humain. Rupture d'anévrisme. Un premier pas vers l'Enfer pour lui.

Drènn, c'est l'image floue d'un passé qui s'étiole. Des souvenirs qui disparaissent, des trous de mémoire qui se multiplient. Une adolescence difficile qu'on met sur le dos du décès de sa mère. Pourtant, malgré les belles paroles des médecins, le deuil ne s'arrête pas. Continuellement, jour après jour, son esprit se fourvoie, lui envoie en pleine tête des images et des murmures qu'il ne maîtrise pas. Cliff, son père, plus noyé dans l'alcool que dans les bons sentiments à son égard, ne cesse de lui répéter d'arrêter son cinéma, et de se concentrer un peu plus à l'école. Drènn est bizarre. Ses camarades le pensent, son père le lui dit. Le seul à croire encore à ses paroles aussi désorganisées, à sonder le fond de son regard trop apeuré, ce n'est personne d'autre que Tritt. Face à leur géniteur, il se bat. Il se bat pour lui faire entendre raison, pour lui ouvrir les yeux sur l'état de son propre fils. Schizophrénie. Un diagnostic établi trop difficilement pour être honnête, d'après Cliff. Il n'en a plus rien à faire de l'état de son fils, de ses fils. Tout ce qui l'inquiète, c'est de retrouver sa bouteille de whiskey à peine rentré chez lui. Ses seules sorties se résument à aller acheter de l'alcool, et vider les poubelles. Sans Livia, il n'est plus qu'une ombre. Une ombre alcoolique et insatiable qui vit sur un fauteuil qui accuse le poids des années.

Désormais, c'est Tritt qui occupe le rôle de parent. Mère et père à tour de rôle, il s'occupe de son cadet, qui va sur ses dix-sept ans. Ami et confident, il surveille chaque jour s'il prend bien ses neuroleptiques. Les crises s'espacent, et sa vie retrouve un semblant de normalité, hormis la masse informe qui lui servait autrefois de père. Drènn ne le voit plus du tout. Aujourd'hui comme hier. Il ignore s'il est toujours en vie. Peut-être. Peut-être qu'il vit toujours dans la maison. Il ne sait pas. Il ne sait plus. Le nouvel homme qui peuple sa vie à la place s'appelle Chris. Un américain. Au pays des suédois, ça sonne un peu étrange. Mais bon, vu qu'il est lui-même plus finlandais que suédois, il ne dit rien. Il aime bien le timbre de sa voix. Elle a quelque chose de différent. Comme sa façon de penser. Tritt l'a prévenu de la maladie de son frère, et pourtant il vient souvent chez eux, parlant autant à l'un qu'à l'autre. Son meilleur ami. Voilà ce que Chris est, par rapport à son grand frère. Chris. Chris. Chris. Il aime sa voix, il aime ses yeux, il aime ses lèvres. Sa peau, est-ce qu'elle est aussi douce qu'elle en a l'air, ou est-ce que ses muscles la rendent plus résistante ? Il a envie de la toucher, mais il n'ose jamais. Pas quand Tritt est là. Pas quand on pourrait lui faire une remarque. Alors il baisse les yeux, et bredouille n'importe quoi pour se donner contenance. Chris a le même âge que son frère, et à côté d'eux, il a vraiment l'air d'un gamin mal dans ses pompes.

Drènn, c'est des larmes qui roulent sur ses joues. Des cris, des hurlements, des coups et du sang. Tritt est mort, le laissant seul dans sa fange et dans la misère. Tritt est enterré six pieds sous terre, dans un cercueil qui finira rongé par les termites et anéanti par les années, à côté de multiples inconnus qui ne méritent pas sa compagnie. Tritt devait rester avec lui, il lui avait dit, il lui avait promis ! Au lieu de ça, il a préféré jouer les policiers modèles, et se jeter à corps perdu dans une fusillade de quartier, pour espérer sauver le vendeur qui se faisait braquer. Trois balles. Deux dans les poumons, une en pleine tête. Tritt est mort, fauché au plein coeur de ses vingt-cinq ans. Face à cette injustice, Drènn ne peut que rouer de coups toutes les surfaces qu'il a à portée de poings. Murs, sols, tables, bois et peau. Il macule de coups le torse de Chris, qui ne cherche qu'à le calmer comme il peut. Ses cris redoublent d'intensité, alors que le liquide salé inonde trop ses joues. Les mots gentils du jeune homme ne sont rien face à la douleur qu'il ressent. Un morceau de son coeur vient d'être arraché. Comme si on venait de lui ôter une partie de lui-même.
Ses angoisses reviennent sur le front et, avec elles, autant de problèmes qu'il n'arrive pas à vaincre. Des idées germent dans son esprit, des idées qu'il n'aime pas. Il abandonne finalement ses études d'Arts au profit d'une formation d'ébéniste. Caresser le bois, lui offrir une nouvelle existence. C'est ce qu'il aime faire. Pas besoin de se brusquer, il faut prendre son temps. Une tâche à la fois. Alors il y arrive, plutôt bien même. Il va même s'entendre dire qu'il est doué, et qu'il fait du bon travail. Le soir, il est content de retrouver Chris. Au fil des mois, ils se sont rapprochés. Un peu trop peut-être. Ils vivent plus ou moins ensembles maintenant. Chez Chris. Pas chez lui. Il n'ose plus mettre les pieds chez son père. De peur de se faire assaillir par de mauvais souvenirs et des réminiscences du passé. Il passe tout son temps avec l'homme qu'il aime. Les bons jours, et les mauvais aussi. Ces jours où les voix lui ordonnent des choses qu'il aimerait ne pas entendre. Ces jours où il le frapperait pour ne pas prendre son traitement. Ces jours noirs qu'il aimerait effacer.

Des fois c'est plus simple. Les jours blancs comme il les appelle. Mais des fois ça ne l'est pas. Drènn, c'est un coeur d'or placé sous les ordres d'un esprit traître. Il ne boit pas, il ne fume pas, mais son corps est contre lui. Comme il ne boit pas, c'est lui qui joue le capitaine de soirée lorsqu'ils sortent boire un verre, avec Chris. Il vient de finir une de ses plus belles pièces. Un coffre en bois d'épicéa. Il en est fier. Tellement fier que quand Chris lui propose d'aller fêter ça dans le petit restaurant grecque qu'il aime, il ne refuse pas. La soirée se déroule bien. Extrèmement bien. Ils parlent, ils discutent, de tout et de rien. Sous la lumière tamisée du restaurant, Chris paraît encore plus beau qu'il ne l'est d'ordinaire. C'est indécent d'être aussi beau.Il commande un autre verre de vin, Drènn ne se contente que d'eau. L'alcool et les neuroleptiques font un très mauvais mélange, il en a déjà fait l'expérience. Il veut boire pour sa réussite, mais préfère s'abstenir. Même si intérieurement, il sait qu'il peut. Cela fait trois jours qu'il n'a pas pris son traitement, sans le vouloir vraiment.
Malheureusement, Chris découvre le pot aux roses. En pleine voiture. En pleine rue. En pleine conduite. Le ton monte, d'un côté comme de l'autre. Les "je vais bien" côtoient difficilement les "tu dois prendre ces trucs !" et les "c'est pour ton bien". Excédé, Drènn quitte la route des yeux. Une seconde. Mais une seconde de trop. Crissement de pneus sur tableau noir. Trop tard. Il tourne le volant d'un coup sec, mais ne parvient pas à éviter la silhouette fine de la jeune femme qui se trouvait là. Tétanisé sur son siège, il entend à peine la voiture caler. Il ne quitte pas la route des yeux, figé comme une statue de glace. Il ne sort pas du véhicule, ne va pas voir si elle respire encore, n'appelle même pas une ambulance. Non, tout ça, c'est Chris qui le fait. En prime, il réussit même à faire sortir Drènn de la voiture avant que les autorités n'arrivent. Tout ça pour quoi ? Pour écoper de la peine de prison à sa place.

Chris a trente ans. Et il vient de le condamner à perdre les cinq prochaines années de sa précieuse vie. Il tient à être présent le jour du procès. Comme pour se convaincre que tout ça arrive bien pour de vrai. Surtout pour voir son visage une dernière fois. La peine est ferme, et sans appel. Alors quand Chris passe près de la rangée des "spectateurs", il se précipite vers lui, n'affichant qu'un air meurtri et perdu. Il se retrouve à nouveau seul. Le sourire trop fatigué de Chris suffit à peine à le rassurer. Cinq ans sans lui, c'est comme lui rappeler la perte de son frère. Bloqué derrière la barrière de bois, il le regarde s'éloigner, comme un chiot abandonné sur une aire d'autoroute. Du mouvement se fait autour de lui, on lui demande de partir. Pour aller où ? Il veut le suivre, se glisser derrière lui comme son ombre pour ne pas le laisser s'éloigner un peu plus. Mais c'est trop tard. Sa silhouette disparaît derrière une porte trop loin pour lui. Il vient de vivre ses derniers instants avec lui, et son coeur souffre déjà trop.
Le premier jour sans lui est horrible. Le deuxième encore plus. Et le troisième une torture. Chaque seconde passée en tête à tête avec son absence ravive ses vieux démons, et avec eux tous les problèmes qu'il avait oubliés. Il tente de se focaliser sur son travail, sur le bois, si doux et silencieux, son seul véritable ami dans cette souffrance indicible. Mais le bois se terre et s'enracine dans un mutisme trop pesant. A vouloir le sculpter, il ne fait que le meurtrir. Alors il s'attaque à sa peau. A sa propre peau, recouvrant ses poignets de multitudes d'encoches et d'ouvertures ensanglantées. Il pleure, il crie, il hurle, mais personne ne l'entend. Il compte les jours qui le séparent du retour de Chris. Est-ce qu'il l'aimera encore ? Il n'a aucune nouvelle de lui. Pas de lettre, pas de coup de téléphone. Il est en prison, pas en déplacement. Cinq ans c'est long. Au bout du premier mois, il a déjà l'impression de devenir fou.

Drènn, c'est ce jeune homme perdu en plein coeur de lui-même. Il se renferme, s'isole, se soustrait à la vue des autres, refusant toute l'aide qu'on cherche à lui apporter. Son esprit redevient traître, et son corps encore plus. Il ne se maîtrise plus. Il ne maîtrise plus rien. Ni les gouges qui roulent entre ses doigts, ni les hurlements terrifiés de sa voisine lorsqu'elle ouvre la porte après avoir cherché à le joindre pendant un mois entier. Elle ne le reconnaît plus, sûrement autant qu'il ne se reconnaît plus. Dans son esprit brûle la conviction de revoir un jour Chris. Son visage se tourne vers sa si charmante voisine. A ses yeux, la vieille dame n'a plus rien de charmant, surtout pas avec ce faciès d'ordinaire ridé, mais maintenant recouvert du voile noir qui obscurcit ses pensées. Elle est terrifiante, sous ses airs faussement apeurés. Le déclic se fait dans sa tête. La solution est toute trouvée. Il n'a qu'à se faire enfermer lui aussi pour un crime qu'il n'a pas commis.
Lentement, il se relève, attrapant au passage une gouge recouverte du sang qui coule encore de ses avants bras. La voisine ne bouge pas, figée de terreur. Lui décochant un air à amadouer la faucheuse, il pose délicatement l'outil dans la main ridée de la vieille femme, refermant ses doigts autour du manche. Sa voix n'est qu'un murmure, un murmure empli d'espoir. «Allez... ouvrez-vous la peau. Vous n'aurez qu'à dire que c'est moi qui l'ait fait, d'accord ?»

Il ne sait plus si sa voisine a accédé à sa requête où si elle s'est enfuie. Peut-être même qu'elle est tombée dans les escaliers alors qu'il la poursuivait. Il n'avait cherché qu'un peu d'aide et en réponse, il n'obtient que les regards froids et mornes des agents qui viennent le chercher. Une voiture de fonction. Des policiers. Comme Tritt, tiens. Son coeur se serre à cette pensée. Il ne sait même pas où il se fait emmener. Il ne sait plus. Ses avants bras, recouverts de gaze pour éviter l'infection, lui brûlent, et son coeur suinte de mal-être. La voiture se met en route, lui à l'arrière. Peut-être que l'ambulance et son alarme tonitruante emmènent le corps de sa voisine. Ou peut-être qu'elle est venue pour tout autre chose. Il ne sait pas. Il ne sait plus.

Tu viens d'être validé, et tu rejoins donc le groupe BLACKWOOD. Dès maintenant, tu vas pouvoir tisser des liens en créant ta fiche ici. Et pourquoi ne pas ouvrir un carnet de Rps ? Ainsi, les gens pourront venir te demander un Rp, et suivre ceux que tu as en cours. Pour se faire, tu as rendez-vous ici. Et pour terminer, nous avons mis en place les carnets de bord. Il s'agit d'un journal intime, en quelques sortes, c'est là que tu pourras noter toutes les évolutions importantes pour ton personnage, tu évites ainsi aux autres de devoir suivre tous tes rps pour savoir où tu en es. N'oublies pas non plus de te recenser aux différents endroits importants. Et l'un des plus courants, c'est bien sûr le bottin des avatars. Ensuite, si tu veux exercer un métier, fais le nous savoir en venant le réserver ici. Il y a déjà quelques propositions, si tu n'as pas d'idées. Bien sûr, avoir un métier n'est pas obligatoire. Enfin ici, tu retrouveras tout ce qui touche aux logements/lieux. A savoir : demande de colocataire, de logement, et le registre des habitants. Car tu peux habiter à plusieurs endroits, mais pour certains lieux, le nombre de place est limité. Pour savoir où est-ce qu'il reste de la place, c'est ici.

Maintenant, l'équipe te souhaite de passer d'excellents moments avec eux et les membres sur The Other Side, et n'oublies pas que si tu as un problème, une question ou quoi que ce soit, le Staff est à ton écoute !