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 ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)

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Wolfgang O. Dahl

Wolfgang O. Dahl



◭ messages : 92
◭ date d'inscription : 17/03/2012
◭ ancien métier : employé dans une boîte de publicité.
◭ localisation : dans le néant de mon crâne.
◭ âge irl : 30
◭ date de naissance : 17/08/1993

De quoi es-tu coupable ?
◭ mes complices: mon amour et ma haine. moi.
◭ mon crime: ce corps inconnu inanimé. cet homme endormi à jamais qui n'avait rien demandé.

ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) Empty
MessageSujet: ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)   ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) I_icon_minitimeSam 17 Mar - 13:23


wolfgang orphée dahl

◐ Celui qui regarde du dehors à travers une fenêtre ouverte, ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre fermée. Il n'est pas d'objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu'une fenêtre éclairée d'une chandelle. Ce qu'on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. Dans ce trou noir ou lumineux vit la vie, rêve la vie, souffre la vie.
Par-delà des vagues de toits, j'aperçois une femme mûre, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sort jamais. Avec son visage, avec son vêtement, avec son geste, avec presque rien, j'ai refait l'histoire de cette femme, ou plutôt sa légende, et quelquefois je me la raconte à moi-même en pleurant.

NOM ◭ dahl. PRÉNOM(S) ◭ wolfgang, orphée. ÂGE ◭ trente-ans. DATE DE NAISSANCE ◭ huit novembre. LIEU DE NAISSANCE ◭ orzysz (pologne). ORIGINE(S) ◭ norvégiennes STATUT CIVIL ◭ fiancé. ANCIEN METIER ◭ employé dans une boîte de pub. GROUPE ◭ blackwood. AVATAR ◭ tobias sorensen.

WE WON'T BE BORN AGAIN
PRÉNOM/PSEUDO ◭ clara. ÂGE ◭ dix-huit ans. COMMENT ES-TU ARRIVE SUR LE FORUM ◭ bazzart. TON AVIS SUR LE FORUM ◭ je... waow. CREDIT ◭ ez2kiel et baudelaire. UN DERNIER MOT ◭ je l'ai oublié, il s'est perdu. CODE DU RÈGLEMENT ◭ ok par l'amoureuse.





WE WERE NEVER ALIVE
Orphée. Ne me dis pas que tu ne connais pas son histoire. Ne me dis pas que tu ne sais pas qui il est. Tout le monde connaît le mythe d'Orphée. Tout le monde – surtout moi. Et mon père, qui m'affabula de ce prénom trop précieux pour mes oreilles. Orphée. Il rigolerait bien, mon père, ce littéraire, s'il me voyait ici. Si seulement il savait. Il faut croire que mon histoire était écrite, que j'étais fait pour Falkenberg et son arrière goût de Pandémonium. Le paternel avait du m'imaginer un destin meurtri comme celui de son héros. (Ou alors, ou alors, il avait oublié la fin de l'histoire, préférant se concentrer sur le poète que je ne serais jamais.) Quelle ironie, n'est-ce pas ?
Douce ironie. Je suis Orphée. Europe, mon Eurydice, ma femme volée, mon amour empoisonné. Le serpent prend vie, il grandi, il s'agite, il devient homme : il ne mord plus, il massacre. Coup après coup – de rein. Son venin pénètre l'âme de ma belle, doucement, il pourrit ce qu'il y a de plus beau. Le poison fait son office : il prend place dans l'organisme, s’étend, se répand. Et je suis inutile. Et dans l'inutilité, quoi de plus beau que la violence ? Que la haine ?
Antidote connu ? Aucun. Il n'existe pas de pilule pour guérir ces maux, si ce n'est l'oubli – mais l'oubli ne s'achète pas en cachets. J'ai cillé trop longtemps sur le corps meurtri de mon Eurydice – mon Europe, ma vie. Sa déchéance, je l'ai vue. En face à face, les yeux dans les yeux. Sa descente aux enfers, j'ai cru la vivre, moi aussi. Ses larmes était miennes, son sang était mien, depuis trop longtemps déjà. J'ai tendu la main : la toucher, la sauver. Mais il était trop tard.

Alors. Alors me voilà puni. Car la pire des peine, c'est son absence. Le froid, le noir, les ombres, le gris, les fous, je n'en ai que faire. La pluie, le silence et les cris de ces autres qui ne sont pas elle ne m'atteignent pas. Et le brouillard ne fait que dissimuler ce que je ne veux plus voir. Je me meurs doucement, dans ma solitude – qui n'est qu'absence de l'autre. Je n'ai plus la force de rien : mouvoir ma lourde carcasse est une torture. Puisque je sais qu'au bout du chemin, cette silhouette, ce ne sera jamais elle. Ce ne sera rien de plus qu'une autre, qui lui ressemble peut-être un peu : de loin. Elle n'aura ni son rire, ni ses étincelles. Elle n'aura pas sa légèreté, son goût frais, léger et boisé – son goût de liberté au bout des doigts, de grand-huit vertigineux, ce goût de vie.
J'attends. Sous mes doigts se dessine son visage, ses hanches, son ventre et bien d'autres parties d'elle que je connais par cœur. J'ose espérer qu'elle va finir par m'apparaître : je sculpte le néant et la poussière, souhaitant l'apparition de mon diamant brut. Utopique. Mais il en faut, de l'utopie, dans une ville comme celle-ci : tout a la goût de terre brûlée, un goût âcre qui me reste en travers de la gorge. L'odeur est pesante et putride : la sang, la mort... Le vent crise, il vrombit, craque, et si je tremble, ce n'est pas seulement parce que j'ai atrocement froid. Je voudrais fuir : me réveiller de ma torpeur, tout faire pour la retrouver. Mais je reste coincé ici. Loin de la vie. Loin de ma vie. Loin de mon Europe. (Et qu'ils m'arrachent la tête, qu'ils me noient, qu'ils me bouffent même si cela peut leur plaire. Et qu'ils m'achèvent, puisqu'elle n'est pas là. Puisque ma vie tourne en rond, que mes jours n'ont pour seule hâte que celle de s'évanouir. J'ai pris pour perpétuité : oui mais, mon seul infini, c'est elle.)

Tu le sais bien, on est vivants, tant qu'on est inconscients.

DEAD MEMORIES IN MY HEART
Et si je dois plaider coupable, alors allons-y. Oui. J'ai fauté. Oui, j'ai pêché. Mais sachez, messieurs, que mon seul crime est d'avoir aimé. Et quand on aime, vraiment, profondément, infiniment, on perd la raison. J'ai aimé – j'aime – comme un fou. Bon pour la camisole de force, la chambre capitonnée. Ce sont mes tripes qui aiment. Ce sont mes poumons, chaque parcelle de ma peau, mes yeux, ma bouche, mes neurones, mes cils, mon foie (…) qui aiment. Et si je tremble quand je crache ça, dites-vous seulement que c'est parce que j'ai froid : la solitude, comme un frisson d'infini, de néant, de toujours. Son absence – mon cœur qui rate un, deux, trois battements et qui se tait. À jamais.
Oui. J'ai tué. De mes propres mains, des mains tout ce qu'il y a de plus banal, j'ai donné la mort. Mes doigts tremblants ont arraché la vie, ils l'ont déchirée en confettis de silence et j'ai soufflé dessus : trop tard. Déjà, elle s'était envolée. La vie est bien plus légère qu'un grain de poussière. Elle est volage, elle ne s'attarde pas : quand on serre un peu trop, elle s'en va. Et moi ? Moi j'ai serré. J'aurais aimé briser cette nuque, arracher ce crâne, sentir le sang chaud jaillir entre mes phalanges trop blanches. J'aurais voulu que ce soit plus violent, plus morbide : j'aurais souhaité quelque chose de gerbant, quelque chose qui retourne l'estomac pour que ma haine se fasse la malle, qu'elle fuit devant l'horreur de son propre crime. Mais non. J'ai seulement serré. Un peu plus fort. Je revois ses yeux, exorbités, suppliants, interrogateurs. Pourquoi lui ? Peut-être parce que son cou me semblait parfait : un appel au crime, mes doigts y ont trouvé leur place comme par magie. C'était chaud. C'était doux. Une douceur bien trop cruelle, tendresse qui ne pouvait plus exister après ce que j'avais vu – et son image, gravée sur mes rétines par le scalpel de la mémoire.
Pas d'alibi. J'ai fait s'envoler la vie devant des dizaines de témoins. J'aurais pu – oui, j'aurais du – retourner l'arme contre moi. Mais mon corps s'est refusé à ce supplice : il avait vaincu la mort, déjà. Il ne voulait pas l'inviter à prendre part en lui. Il ne souhaitait pas ouvrir grand la porte et, avec un sourire sans faille, lui demander de l'envahir dans la plus douce violence possible. Elle était l'ennemie. Pour tout l'or du monde mon âme ne l'aurait embrassée. Il faut se rendre à l'évidence : je n'avais pas la force de me donner la mort. J'aurais pu tuer un bataillon de soldats entier, mais j'étais incapable de me faire du mal à moi. Peut-être parce que je savais qu'en m’atteignant, c'est aussi elle que je blessais.

J'ai entendu dire, plus tard, qu'il était un homme bien : père de famille, voisin exemplaire, citoyen bon sous tout rapport. Je vous répondrais bien qu'il était au mauvais endroit au mauvais moment, mais la simplicité de ces mots m’écœure. J'avouerais volontiers que la douloureuse sentence de mon dégoût aurait pu s’abattre sur quelqu'un d'autre – n'importe qui, quelqu'un qui ne s'y attendait pas, un innocent parmi tant d'autres, vous – mais il ne sert à rien de déblatérer sur des probabilités. De possibles possibilités qui n'auront jamais lieu, puisque le mal est fait et que c'est pour ça que je suis ici. Il est le seul à être tombé sous le couperet de ma folie morbide, le seul à avoir flancher, le seul sous terre.
La vérité, c'est que je n'éprouverais aucun plaisir à me défendre. Pour toi, j'aurais tuer n'importe qui, pourquoi pas en riant si tu me l'avais demandé. Oui, j'aurais noyé nos enfants pour te garder, j'aurais assassiné la reine d'Angleterre, pour ton sourire, pour tes maux doux et notre liberté. Tu étais ma voile, mon étoile, mon unique, mon ailleurs, mon Amour a majuscule. Pour toi, j'étais prêt à toutes les folies. Quitte à en crever – avec ta bénédiction. Comme n'importe quel junkie en manque, j'étais bon à lier ce soir là. Et l'histoire que me racontait tes yeux (ta peau, ton sang, tes larmes) m'était insupportable. Tuer par amour : quelle banalité. Excuse idiote, dessein éculé que n'accepte plus aucun jury : et pourtant, s'ils avaient su donner un centième de l'amour que j'éprouve pour toi à quelqu'un, ils comprendraient, j'en suis certain.
Peut-être ai-je cru un instant que son horreur à lui aurait pu remplacé l'image que j'avais de la tienne. Comme un jeu de construction, j'empilerai les images morbides pour ne plus voir que le haut de la pile. Effacer le cauchemar en le multipliant. Ôter la vie pour ne pas te voir presque morte, déjà. Branlant château de carte puisqu'il s'est écroulé une seconde seulement après mon crime. Tu restes sur le haut de la pile, quoiqu'il advienne. (Reviens-moi. Reviens-moi. Reviens-moi.)

tu ressembles au naufrage, que j’ai fait tant de fois, que j’ai fait avec toi.



Dernière édition par Wolfgang O. Dahl le Dim 18 Mar - 15:21, édité 7 fois
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Adam W. Mayfield

Adam W. Mayfield



◭ messages : 58
◭ date d'inscription : 26/02/2012
◭ ancien métier : photographe

De quoi es-tu coupable ?
◭ mes complices: dolores
◭ mon crime: inceste, harcèlements, attentat à la pudeur,

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MessageSujet: Re: ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)   ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) I_icon_minitimeSam 17 Mar - 13:53

Bienvenue parmi nous ; très bon choix de prénom :pacman:
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InvitéAnonymous

Invité




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MessageSujet: Re: ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)   ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) I_icon_minitimeSam 17 Mar - 13:55

Bienvenue
Super choix de scénario :bril: :bigeyes:

Éclate bien :OMG:
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Europe Volodya Åkerfeldt

Europe Volodya Åkerfeldt



◭ messages : 661
◭ date d'inscription : 15/01/2012
◭ ancien métier : étudiante en mythologie nordique et religions d'aujourd'hui.
◭ localisation : ma boussole a perdu le nord.

De quoi es-tu coupable ?
◭ mes complices: l'aube et l'aurore.
◭ mon crime: aimer trop fort, jusqu'à s'en perdre soi-même.

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MessageSujet: Re: ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)   ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) I_icon_minitimeSam 17 Mar - 14:02

Que dire, que dire si ce n'est merci. :bril: Tu vas convenir à merveille, ma boite mp t'est entièrement ouverte. J'aime de l'avatar jusqu'au pseudo, waou.
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Wolfgang O. Dahl

Wolfgang O. Dahl



◭ messages : 92
◭ date d'inscription : 17/03/2012
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◭ localisation : dans le néant de mon crâne.
◭ âge irl : 30
◭ date de naissance : 17/08/1993

De quoi es-tu coupable ?
◭ mes complices: mon amour et ma haine. moi.
◭ mon crime: ce corps inconnu inanimé. cet homme endormi à jamais qui n'avait rien demandé.

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MessageSujet: Re: ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)   ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) I_icon_minitimeSam 17 Mar - 14:06

adam, merci. malheureusement, je n'ai aucune gloire à tirer du choix de prénom étant donné qu'il ne vient pas de moi. :bril:
télémaque, quel prénom I love you merci beaucoup.
europe, ma douce. je n'hésiterai pas à peupler ta messagerie en cas de besoin - et même si ce dernier ne se fait pas ressentir, d'ailleurs. merci à toi. :ha:
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A. Czeslaw Jakotrovietch

A. Czeslaw Jakotrovietch



◭ messages : 767
◭ date d'inscription : 15/01/2012
◭ ancien métier : Tueur à gage, qui exerce toujours d'ailleurs. Ahem.
◭ localisation : Qu'est-ce que ça peut te faire ? Pour ne pas dire autre chose.

De quoi es-tu coupable ?
◭ mes complices: La Mafia Russe.
◭ mon crime: Tellement de choses... A commencer par ne pas être mort avec les miens, et certainement quelques exécutions et autres trucs pas clairs. Mais bon, entre nous, qui n'a jamais rêvé d'étrangler son patron ?

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MessageSujet: Re: ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)   ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) I_icon_minitimeSam 17 Mar - 17:34

Excellent choix de scénario,; bievenue. I love you
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A. Cassandre Tchaïkovsky

A. Cassandre Tchaïkovsky



◭ messages : 716
◭ date d'inscription : 15/01/2012
◭ ancien métier : botaniste.
◭ localisation : la vieille serre.
◭ âge irl : 28
◭ date de naissance : 07/11/1995

De quoi es-tu coupable ?
◭ mes complices: mes mains.
◭ mon crime: c'était un accident. (meurtre de son fils)

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MessageSujet: Re: ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)   ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) I_icon_minitimeSam 17 Mar - 17:43

Aah contente de te voir parmi nous ! I love you Bienvenue donc et bonne chance pour ta fichette. :gnih:
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Absconsus Farewell

Absconsus Farewell



◭ messages : 511
◭ date d'inscription : 19/02/2012
◭ ancien métier : apprenti chez un empailleur.

De quoi es-tu coupable ?
◭ mes complices: mon scalpel et mes ciseaux.
◭ mon crime: mon travail.

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MessageSujet: Re: ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)   ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) I_icon_minitimeSam 17 Mar - 17:58

Bienvenue ici ! :bril: Le choix de scénario est génial. :bave: Tout comme ton pseudo et Tobias, of course. :bed:
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Wolfgang O. Dahl

Wolfgang O. Dahl



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MessageSujet: Re: ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)   ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) I_icon_minitimeSam 17 Mar - 19:31

merci beaucoup à tous les trois. :bigeyes:
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Europe Volodya Åkerfeldt

Europe Volodya Åkerfeldt



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MessageSujet: Re: ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)   ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) I_icon_minitimeDim 18 Mar - 15:43

Je ne sais pas si je dois me répéter ou non, mais il m'arrive d'aimer ça : j'adore. C'est tout à fait ce que je voulais, exactement comme je l'imaginais. Avec peu de mots, tu arrives à faire monter l'émotion et à retranscrire les évènements, c'est le parfait milieu que j'apprécie tant. Tu as les mots justes, du vocabulaire, des idées et un style accrocheur. Je t'en écrirait tous les jours, des scénarios. Une seule hâte : rp. Si quelqu'un doit être à la hauteur, c'est bien moi qui suis en bas. Voilà, tu me coupes le verbe et c'est assez perturbant. C'est une baguette ou un clavier que tu tiens devant tes yeux ? Merci, merci beaucoup. (Elle va revenir, elle n'est jamais partie.) Et puis merde, juste : :cute: :bril: :ha: :luuv: :bigeyes: :luv: jesuistropcontente.



◐ Bienvenue sur THE OTHER SIDE.

Wolfgang O. Dahl

Tu viens d'être validé, et tu rejoins donc le groupe BLACKWOOD. Dès maintenant, tu vas pouvoir tisser des liens en créant ta fiche ici. Et pourquoi ne pas ouvrir un carnet de Rps ? Ainsi, les gens pourront venir te demander un Rp, et suivre ceux que tu as en cours. Pour se faire, tu as rendez-vous ici. Et pour terminer, nous avons mis en place les carnets de bord. Il s'agit d'un journal intime, en quelques sortes, c'est là que tu pourras noter toutes les évolutions importantes pour ton personnage, tu évites ainsi aux autres de devoir suivre tous tes rps pour savoir où tu en es. N'oublies pas non plus de te recenser aux différents endroits importants. Et l'un des plus courants, c'est bien sûr le bottin des avatars. Ensuite, si tu veux exercer un métier, fais le nous savoir en venant le réserver ici. Il y a déjà quelques propositions, si tu n'as pas d'idées. Bien sûr, avoir un métier n'est pas obligatoire. Enfin ici, tu retrouveras tout ce qui touche aux logements/lieux. A savoir : demande de colocataire, de logement, et le registre des habitants. Car tu peux habiter à plusieurs endroits, mais pour certains lieux, le nombre de place est limité. Pour savoir où est-ce qu'il reste de la place, c'est ici.

Maintenant, l'équipe te souhaite de passer d'excellents moments avec eux et les membres sur The Other Side, et n'oublies pas que si tu as un problème, une question ou quoi que ce soit, le Staff est à ton écoute !
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Wolfgang O. Dahl

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MessageSujet: Re: ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)   ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) I_icon_minitimeDim 18 Mar - 15:50

en un mot : merci. I love you
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MessageSujet: Re: ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...)   ET MES RÊVES SE BRISENT SUR TES PHΔLΔNGES (...) I_icon_minitime

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