PRÉNOM/PSEUDO ◭ citizen. ÂGE ◭ twenty-one COMMENT ES-TU ARRIVE SUR LE FORUM ◭ J'ai repéré le forum, par Bazzart. J'ai été tenté par le scénar' du violeur d'Europe. Mais finalement j'ai entraîné mon âme sexuelle ici. TON AVIS SUR LE FORUM ◭ Visuellement, ça fait du bien ; et j'aime le concept du forum. CREDIT ◭ en cours. UN DERNIER MOT ◭ Dolores, à genoux. CODE DU RÈGLEMENT ◭ ok par Cassandre.

Une sensation de "liberté" en vint à l'envahir lorsqu'on l'expédia à Falkenberg. A quand bien même cela impliquait donc d'être considéré comme un "criminel", d'être reconnu comme ayant des moeurs obscènes, il pouvait ainsi faire payer à sa sœur ce qu'elle lui avait fait. Il ne s'attend pas à des excuses, à des remords, d'elle. Mais maintenant il veille à bien lui faire comprendre que la donne a changé. Adam est peut être désormais plus dangereux encore qu'avant son emprisonnement. Il ne gifla pas Dolores, mais ses coups de reins ont la même hargne. Il n'a en rien arrêté d'exprimer son vice, mais sous l'impulsion de la rouquine, il a accepté de prétendre avec elle qu'ils ont été arrêtés pour une mystérieuse affaire d'extorsion. Qu'elle ait été l'appât et lui le type qui demande les rançons. Dolores tient à son image, à quand bien même elle a été terriblement salie. Tout ce qu'elle a crée a été balayé en vingt minutes de vidéo où on la voit tour à tour à genoux, sur Adam, ou à quatre pattes. Certainement l'une de ses meilleures prestations. Au final, ils sont piégés, l'un avec l'autre. Intérieurement, ils savent que personne ne peut mieux les comprendre, les aimer, que eux-mêmes. Il a besoin d'elle et malgré ses nombreux essais de s'en dissuader, il revint constamment vers Dolores. Tout comme elle, même si elle essaie de se croire plus "maîtresse" du jeu que lui.

Falkenberg lui parait être un excellent endroit pour poursuivre dans la "débauche" et le crime qu'il n'a cessé de faire vivre depuis son plus jeune âge.

Sympathy for the devil
I've been around for a long, long year, stole many a mans soul and faith. And I was round when jesus christ had his moment of doubt and pain. Made damn sure that pilate washed his hands and sealed his fate. Pleased to meet you, hope you guess my name. But what's puzzling you is the nature of my game.



Ses rêves furent les premiers symptômes. Pendant un instant, Dolores, nue, le chevauchait, gémissant faiblement et entraînant une de ses mains à l’un de ses seins pour qu’il lui fasse ressentir l’amour qu’il portait à ses formes. Le réveil était ensuite brutal. Son premier rapport sexuel avec sa sœur eut lieu quelques mois après ce rêve, au lendemain de ses seize ans. Mais ce ne fut que la conclusion logique d’une enfance « cancéreuse ».

Ses parents ne s’aimaient pas, tout du moins, ils s’en étaient persuadés lorsqu’ils s’étaient mariés et n’avaient pu que s’apercevoir, jour après jour, qu’ils se mentaient. Ils produisirent malgré tout l’image d’une famille. La naissance d’Adam marqua le début de cette mascarade, renforcée quelques temps plus tard par l’arrivée de Dolores. Il n’y eut jamais de ruptures, d’évènements particuliers qui inversèrent la logique. Juste le temps qui passe. Le père, banquier, qui va d’Europe en Asie, ne traînant à la maison que pour réprimander ses enfants et baiser la bonne. Les Mayfield évoluaient dans le luxe. Les Mayfield s’intoxiquaient avec les dollars. La mère, mannequin à la retraite, était une épave, oscillant entre l’alcool et l’homme qui entretenait la piscine.
Adam, dans l’équation générale, se retrouvait souvent dans les positions les plus compliquées. Une sœur, consciente progressivement de son aura « sensuel », voire érotique, qui cherchait à tester ce pouvoir sur lui – un père qui le jugeait toujours trop peu « charismatique », le rabaissant à la moindre occasion. Et pour conclure, ses études étaient en dents-de-scie : il consommait des cigarettes ainsi que la rage de commettre une rébellion dont tout le monde se moquait. Il songeait à sa vie, loin des murs de cette villa si asphyxiante. Dolores le taquinait. Dolores offrait l’image de ses fesses nues, d’un sein opulent. Il s’injecta du sang-froid et passa son chemin à chaque occasion où un incident pouvait faire basculer l’ensemble.

Les premières tentatives de sa sœur ne furent que des semi-échecs. Elles avaient eu au moins l’occasion d’introduire dans son esprit l’idée que leur relation pouvait aller « plus loin ». Ce concept se cala en lui, et commença à se développer. En même temps que ses hormones, une armée qui déferlait dans son corps et le poussait à entrebâiller la porte de la salle de bain pour voir la silhouette confuse de sa sœur en train de se doucher. Ou encore pour errer dans sa piaule, observant et touchant dans la commode de sa sœur les quelques sous-vêtements de plus en plus osés qu’elle possédait. Il essayait, en parallèle, d’employer son charme au bahut pour détourner ses envies auprès de ses camarades : en vain. Plus d’une nuit durant cette période se ponctua d’un songe où il perdait son visage dans la poitrine de Dolores, ou à la chevaucher brutalement. A la pilonner à sec.

She's lost controlHard on the floor makes it harder to touch. Now I can move with a sweep and a crunch. Now I see you violent and dirty. I wanna be like sex can sweat and drip on you in sweet duress. And on my count we’re moving, moving, moving

Une journée, en été, fut particulièrement chaude. Les températures s’affolaient dans l’ensemble des Etats-Unis ; et au bord de la piscine, Dolores traquait le regard d’Adam alors que leur mère essayait de croire qu’ils n’avaient pas remarqué le jeu qu’elle avait instauré avec l’individu en charge du nettoyage du bassin. Il s’en alla prendre une douche, désireux de refroidir ses pensées après avoir contemplé sa sœur couchée à côté de la piscine. Dans un maillot de bain à deux pièces. Cinq minutes après que l’eau se soit abattue sur son corps, il ressentit une présence. Elle n’avait que quatorze ans mais déjà un esprit assez entreprenant. Il s’employa à adosser le rôle du frère aîné, à la renvoyer hors de la cabine : échec. La rouquine parvint à faire naître aisément le début d’une érection et il en vint à fuir, conscient de ne fuir qu’un instant inéluctable. Il la désirait ; il la voulait brisée et exténuée, chaude et mouillée. Avide de lui et de ses mains, de ses coups de reins et de son souffle chaud à son cou.

Tout ceci ne dépendait en réalité que de lui. Dolores ne résistait pas, elle l’appelait. Dolores ne l’esquivait pas, elle s’approchait le plus possible de lui.Déchiré entre l’idée qu’il était son frère, les grincements de lits certaines nuits (causés par son père qui s’envoyait la femme de ménage ou de sa mère baisant avec le nouveau jardinier), les mots à double sens et autres fruits que sa sœur s’employait à utiliser de manière malsaine : il céda. Son obstination à ne pas prétendre qu’il voulait coucher avec sa sœur s’éteignit. Il attendit, dans son lit : la nuit était déjà bien avancée dans son existence. Torse nu, juste avec son boxer, âgé d'à peine seize ans, Adam quitta sa piaule, emprunta un couloir en retenant son souffle — les frissons qu'il possédait commençaient à muter en tremblements. La chambre de sa sœur bénéficiait d'une certaine distance avec celle de leurs parents (pour ce soir, occupée seulement par leur mère) et son âme perverse s'en réjouissait déjà. Il posa une main sur la porte qui le séparait de Dolores, réfléchissant une dernière fois sur l'étendue de son acte. Il se savait, intérieurement, n'être qu'une "expérience", qu'une lubie de sa sœur mais cela ne l'aidait pas à arrêter ses actes.

Elle dormait quand il rentra. Aucune lumière ne lui permettait de le savoir : seul son instinct. Il s'agenouilla à côté de son lit, hésitant d'autant plus maintenant sur le "premier" acte à accomplir. Mais déjà, il ressentait les pulsions. Ses yeux s'habituaient à l'obscurité et il prit l'initiative de se glisser dans son lit, la réveillant. Il posa fermement sa main sur la bouche si pulpeuse de sa sœur, ne disant cependant rien : guidant quelques doigts féminins à venir dans son boxer tandis qu'il laissait les siens errer dans la petite culotte qu'elle avait vêtue. Les caresses et autres attouchements durèrent, durèrent, et leurs soupirs ne cessèrent de se faire plus nombreux. Le membre d'Adam était déjà hors de son habit et il n'eut qu'à faire descendre un peu le sous-vêtement féminin pour que leurs sexes se touchent, flirtent ensemble : puis qu'il s'enfonce en elle. Adam ne bâillonna pas sa sœur, la laissant gémir, essayer de se retenir, mordant ses lèvres. Ses coups de reins n'étaient pas maladroits malgré son inexpérience. Et il se força à résister, à faire durer ce qu'il avait tant désiré. Il s'empara, entre ses dents, du sommet d'un sein de sa trop jeune sœur : il esquiva ses baisers, ne lui laissant la possibilité que de le griffer dès lors que sa queue s'exerçait à s'immiscer en elle plus profondément. Le plaisir afflua, rapidement, trop rapidement. Adam n'eut pas le temps de s'expatrier que déjà son sang blanc se perdait en Dolores, et qu'il en vienne à laisser un râle masculin à l'oreille de la rouquine.

Il resta encore quelques secondes, le souffle court, avant de remettre son boxer et de fuir cette piaule. Maintenant qu'il avait rassasié son fantasme, et celui de sa sœur, il eut le temps d'une nuit la naïve espérance que tout ceci était clos.

Sexual Romanceawake, shake dreams from your hair, my pretty child, my sweet one : choose the day, and choose the sign of your day, the day's divinity, first thing you see. a vast radiant beach and cool jewelled moon ; couples naked race down by its quiet side and we laugh like soft, mad children

Les séances nocturnes eurent encore lieu. Ils baisaient de manière toujours plus indécente : plus violente. Adam mettait parfois à mal le corps de la rouquine, la plaçant dans des positions honteuses : la culbutant avec rage. C'était sa vengeance, de tout ce qu'elle faisait naître en lui et qu'il ne parvenait à résister. Aucun homme, en réalité, n'y parvenait : et lorsqu'il en vint à l'entendre gémir avec le garçon chargé de l'entretien de la piscine, une jalousie fiévreuse s'empara de lui et manqua de peu de "briser" tout le secret qu'était leurs relations sexuelles. Adam s'employa à prendre ses distances. Résistant toujours aux baisers que pouvait vouloir lui prodiguer sa jeune sœur ; s'attachant ou baisant simplement des nanas au bahut. Il présentait parfois une de ses "compagnes" à sa mère, et donc à sa sœur, errant dans leur demeure tout en tenant la main d'une blonde à la poitrine opulente et parfois même intelligente. En réalité, il s'était mis à jouer. Avançant lui-aussi ses pions, comme le faisait sa démoniaque rouquine ; elle s'empalait sur lui, durant leurs coïts, laissant même volontairement ses doigts faire traîner une brève ligne de sang sur sa peau. Comme pour prouver qu'il lui appartenait. En juste retour, il laissait la marque de ses dents quelque part sur le corps de la jeune femme.

Le temps ne cessait cependant de faire son œuvre et dès qu'il en eut l'occasion, Adam quitta la maison familiale, se cala dans un appartement et parvint à se passer de Dolores. Son corps, son tempérament, son esprit avaient beau lui manqué, il savait que toute cette relation était bien trop dangereuse. La réputation du jeune homme était déjà criblée d'histoires obscènes ; souvent à cause de la rouquine. Il s'était mis autant à la protéger qu'à lui mettre sa queue entre les cuisses. Son "indépendance", il la savoura pleinement : qu'une poignée de semaines. Les rumeurs qui traînaient dans les vestiaires masculins, dans les soirées entre oreilles masculines, faisaient état d'une rouquine qui baisait comme une folle. Qui était prête à se mettre à genoux en une demande, pompant et avalant ; présentant son corps nu à tout homme désirant la posséder. Adam fit le rapprochement ; Adam fit les connexions. D'autant plus lorsqu'une de ses "connaissances" évoqua qu'elle était si bonne à pilonner. Le reste fut confus mais on ne parvint à le séparer de ce vantard qu'au bout de cinq/six minutes, ses poings lui étaient douloureux ainsi que son visage mais il s'en accommoda. Se soignant brièvement, allant à la baraque familiale : et disant simplement à Dolores de prendre ses affaires, elle allait emménager chez lui. Leur mère s'interrogea un bref instant sur ce "choix" et la rouquine parvint à faire taire les soupçons en évoquant le fait qu'elle était ainsi beaucoup plus proche de son école. Cela lui permettrait de rentrer travailler plus tôt et de bénéficier de l'aide de son grand frère. C'était si exquis. Cinq heures plus tard, il l'avait couché sur le sol de son appartement et la baisa avec une vigueur à même d'obliger la rouquine de ne pas aller suivre ses cours pendant deux-trois jours.

Malgré que l'équation en était revenue à son caractère obscène, Adam sombra in love. C'était une mannequin, admirablement bien faite, et qui avait le don de calmer ses pulsions. Qui le rendait "heureux". Il fit l'erreur d'oublier Dolores, de ne pas se soucier de ce qu'elle pensait de la relation qu'il avait avec Erina (prénom qu'elle ne parvenait jamais à se souvenir) ; il avait cessé de jouer, était hors course. Il continuait malgré tout à baiser la rouquine, calmant croyait-il ainsi les penchants incestueux de sa sœur. Mais elle le voulait, corps et âme, rien qu'à lui. Et elle oeuvra si bien que la jeune femme dont était pris Adam en vint à se suicider, après que sa carrière se soit retrouvée comprise à cause d'une sex-tape : et qu'elle ait vu Dolores en train de chevaucher son frère. Lui. Quelque chosa se brisa. Peut être était-ce la nuque de son bon sens, ou tout simplement qu'il avait "accepté" d'être donc le pantin de sa sœur. Mais un pantin qui allait faire d'elle sa petite salope jusqu'à ce que la mort les sépare.

S'il avait joué, jusqu'à présent, à menacer la réputation de Dolores : à la toucher en soirées, à la culbuter dans des toilettes publiques. Il alla beaucoup plus loin. Il diffusa une sex-tape de lui et de sa sœur sur le web. Son "incarcération" à Falkenberg eut lieu quelques semaines plus tard.